Le monde érotique d'Esteban

Aujourd'hui pas de série de photo mais la suite du récit "Mon beau père"...
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En rentrant après avoir fait des courses, vers 18h30, mon beau père m’attendait.

« Ah, déjà rentré ? J’ai pas eu le temps de préparer le dîner »

« Mon dernier rendez-vous a été annulé et je suis rentré plus tôt »

« Oh… Je vais m’y mettre, alors »

« Je vais t’aider »

Bizarre, il ne préparait jamais la bouffe

« OK, ça ira plus vite »

On a préparé un gratin dauphinois avec un bon steack. Pas très compliqué.

Après avoir mangé, Henry m’a demandé :

« Dis, Seb, t’aurais pas vu un petit paquet que j’avais rangé dans ma garde robe ? »

 (il parlait peut-être du gode… Shit, il était dans ma table de nuit…)« Heu non… Tu sais je ne vais pas dans ta garde robe, moi ! » (Quel menteur !)

« ça m’embête, je ne sais pas où il est »

« Oh… Et il contenait quoi, ce paquet ? »

«  Comment dire ? un objet auquel je tiens beaucoup.. »

(Ah ah…)

« Ah ? Et c’est quand la dernière fois que tu l’as vu ? »

«  Avant-hier… Je l’ai utilisé le soir et hier soir, quand je l’ai recherché, je ne l’ai plus trouvé…

(Ouille, shit, ça pue, ça…)

« Tu ne l’aurais pas pris, par hasard ?»

(Petit blanc pendant que je devenais tout rouge)

« ha, je vois… C’est bien toit qui l’a… »

« Ecoute… désolé… Je l’ai trouvé… et… »

« Tu n’as pas su résister ? C’est ça ? »

J’ai baissé la tête…

« Oui, c’est ça… Tu ne diras rien à maman, hein ? »

« Disons que ça va dépendre de toi… »

Je l’ai regardé, étonné de sa réponse.

« il va falloir que tu sois gentil avec moi… »

« Heu… tu penses à quoi, là ? »

« Dis-moi d’abord si tu vas être gentil avec ton gentil beau père… Si tu es gentil, je ne dirai rien à ta mère… et je serai aussi très gentil… »

Là, c’était quitte ou double mais j’étais dans la merde !

« OK, je serai très gentil… »

« C’est bien… » Viens t’asseoir sur mes genoux »

« Quoi ? Tu te fous de moi ? J’ai plus 10 ans ! »

« Seb, tu m’as dit que tu allais être gentil, n’oublie pas ! Et même à 18 ans, tu peux venir sur mes genoux… »

J’ai plié et me suis exécuté.

« Non pas comme ça, de face »

Je me suis retourné pour me retrouver face à face avec lui…

« C’est bien »…

«  Dis moi, tu as essayé le gode, hier ? »

« Heu… »

« Tu peux tout me dire… tu sais… »

« Oui… »

J’étais comme un petit gamin pris la main dans le sac, en faute…

« Ah, c’est bien ! Et tu as joui avec, alors ? »

Je suis devenu rouge pivoine…

« Sébastien ? »

« Heu… oui… »

« C’est bien, mon grand…  C’était la première fois que tu jouais avec ?»

« Oui, pourquoi ? »

« Pour savoir…  et ça t’a plu ? »

Je n’ai rien dit…

«  Je vois à ton air que, bien entendu, ça t’a plu »

J’avais le regard baissé.

«  Et cet après midi, ça t’a palu ? »

(Ouille, shit… il m’avait donc vu)

« Heu de quoi tu parles »

« Tu sais bien ! Je t’ai vu dans le miroir… »

« Oh… »

« Ça t’a plu de voir ton copain Phil se faire enculer ? »

« Heu… »

« Allez, dis le moi ! »

« Heu, oui ! »

« Et je parie que tu aurais aimé être à sa place, hein ? »

(Silence)

« Bien entendu que tu aurais aimé être à se place… n’est ce pas ? »

« (Tout bas) oui »

« Alors, si tu veux, on va le faire… »

Et là, c’est devenu comme dans un rêve éveillé : Henry m’a embrassé. Je lui ai rendu son baiser. Nos lèvres et nos langues ont commencé un ballet. C’était divin.

Il m’a couché sur la table et m’a déshabillé. Il a saisi me bite tendue et l’a prise en bouche. En 2 minutes, j’ai juté. Il a gardé mon jus et m’a embrassé avec. J’ai tout avalé…

Puis, il m’a demandé de le sucer à mon tour. Je me suis mis à genou et, pour la première fois de ma vie, j’ai essayé une fellation.

Au bout de 5 minutes, il m’a dit « ce n’est pas encore ça, faudra travailler ça ! Passons aux choses sérieuses ! »

Il m’a soulevé et étendu sur le canapé du salon. Il m’a relevé les jambes sur le torse et a présenté sa queue sur mon petit trou.

« Prêt ? »

« Oh oui, vas-y »

« Vas-y quoi ? »

« Vas-y, henry ! Prends-moi ! »

« Comment ? »

« Encule-moi fort ! Vas-y, j’ai trop envie de ta queue en moi ! »

Il souriait, je devenais sa pute…

« C’est ta première fois, je suppose ? »

« Oui »

« Alors je vais être doux… Pour que tu t’habitues à ma bite. Mais je te préviens, une fois que tu y auras gouté, tu ne sauras plus t’en passer ! »

« Pas grave, je serai à toi ! »

Il s’est enfoncé délicatement en moi. Et là, après 2 minutes, c’est devenu l’extase totale ! Je sentais le plaisir qui montait en moi !

A un moment donné, plus moyen de me retenir et j’ai joui du cul. Ça a déclenché ma jouissance ! Comme Phil quelques heures plus tôt, j’ai joui jusqu’à mon menton!

« Ho ! Henry ! ! C’est bon ! »

Il s’est arrêté un peu, le temps que je reprenne mon souffle… Je planais littéralement…

Puis il a repris son mouvement de va et vient en moi. Il m’a fait retourner et m’a pris en levrette.

J’ai joui une troisième fois quand il s’est déversé en moi.

Je me suis rendu compte qu’il n’avait pas mis de capote.

Je le lui fais remarquer.

« Pas de capote en famille…  Avec les autres, oui mais en famille, c’est en direct ! »

Il m’a pris dans ses bras, m’a soulevé et emmené dans son lit. On s’est couché et je me suis endormi dans ses bras.

Au petit matin, il m’a de nouveau labouré puis je l’ai sucé pour qu’il jouisse.

Il m’a fait tout avaler… J’ai adoré !

« Tu ne proposerais pas à Phil de venir dormir ici un de ces soirs ? »

« Pas ce soir, je veux encore profiter de toi !  Mais ça te plairait ? »

«  2 petites putes pour moi… ça m’excite ! »

« Alors je l’invite pour demain soir ! »

« Génial »

Je me suis lové contre lui.

« Seb ! N’oublie pas, c’est notre secret à nous deux… tu n’en parles à personnes ! Même pas à Phil avant demain soir ! »

« Ok »

« Allez, sois encore gentil, viens prendre ta douche avec moi ! »

On a pris une douche à deux pendant laquelle il m’a de nouveau enculé. J’ai joui sur la paroi pendant qu’il me pilonnait puis il a joui en moi.

« Ne mets pas de sous vêtements aujourd’hui »

« D’accord »

« Et pas de branlette sans moi ! »

« D’accord mais reviens vite ce soir ! »

« Promis »

«  Et dernière chose… »

« Quoi ? »

« Ce soir, tu vas prendre ! »

«  Je l’espère bien ! »

Vivement ce soir !