Mon entraîneur
Je m’appelle Sébastien, j’avais 16 ans lorsque cette aventure m’est arrivée et cela reste un des meilleurs souvenirs de ma vie!
Je jouais au volleyball dans une équipe composée de gens tous plus âgés que moi. Comme j’étais très doué et que j’étais le plus jeune, j’étais en quelque sorte la mascotte de l’équipe. L’ambiance était excellente. C’étaient tous de bons sportifs, bien musclés. Dans les douches, j’aimais bien regarder les autres se déshabiller et se promener la queue à l’air. J’ai dû à plus d’une reprise dissimuler un début d’érection en voyant toutes ces belles bites.
Au début de la saison, après un match, notre entraîneur est venu nous féliciter après une victoire pendant que l’on se douchait. J’ai eu l’impression qu’il me regardait et ce sentiment m’a excité et j’ai commencé à bander. En voyant ça, il m’a adressé un petit sourire et a continué à nous congratuler.
Il faut dire, Vincent notre entraîneur, avait à peine 24 ans et c’était un grand sportif: il faisait partie de l’équipe première du club et était considéré par beaucoup comme le meilleur joueur du club, voire de la région... Il était brun-châtain et des yeux noisettes à croquer. Dans toutes les situations, il trouvait le mot pour rire ou pour mettre en confiance. Toujours sympa, souriant, parfois dur mais toujours juste. Bref, il représentait tout ce que je voulais devenir.
Je dois dire qu’à partir de cet épisode dans le vestiaire, il a alimenté tous mes phantasmes. Je me masturbais sauvagement, parfois 3 à 4 fois de suite (ah, c’était le bon temps!), en pensant à lui.
En milieu de saison, lors d’un entraînement où beaucoup de joueurs étaient absents, nous n’étions que 5, alors Vincent a participé avec nous pour faire nombre. Il était, comme toujours, très fort et son style de jeu était parfait. C’était très agréable mais aussi très intensif! En fin de séance, j’avais une crampe au mollet. L’entraînement était terminé et les autres étaient partis se doucher. Vincent est venu près de moi et m’a montré comment m’étirer pour diminuer la douleur. Il m’a aidé en me tenant le pied et puis, m’a massé le mollet. À son contact, j’ai directement bandé. Ce n’était pas très discret... À travers mon short, il l’a directement remarqué et m’a adressé un grand sourire que je lui ai rendu.
— Ça m’a l’air bien serré là-dedans!
Je suis devenu tout rouge pivoine... La honte! Le silence qui a suivi a été brisé par les autres qui avaient fini de se changer et qui partaient.
Vincent m’a relâché, a pris ses affaires et s’est dirigé vers les vestiaires. Je bandais toujours à fond. J’ai repris un peu mes esprits puis me suis dirigé vers le vestiaire. Au moment où j’entrais, Vincent était nu et entrait dans la douche commune. C’était la première fois que je le voyais tout nu. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il était bien membré: un belle queue de 20cm, circoncise et un petit triangle de poils très court. Mon érection m’a repris de plus belle.
Je me suis déshabillé tant bien que mal, mon 18cm bien tendu et décalotté. Je suis rentré sous la douche bien chaude, toujours bandé. Nous n’étions plus que nous deux, tous les autres étaient partis. Vincent me tournait le dos en se savonnant. Ses fesses étaient fermes, brillantes.
En le voyant comme ça, j’ai été pris d’une envie de le serrer dans mes bras. Je me suis approché de lui et j’ai posé ma main sur son dos. Il s’est retourné et c’est alors que j’ai remarqué qu’il bandait aussi.
— Tu veux me savonner le dos?
Un peu pris au dépourvu, j’ai articulé:
— Pourquoi pas? en lâchant un grand sourire pepsodent...
— OK mais laisse moi d’abord commencer...
Et il s’est agenouillé devant moi, m’a caressé le torse puis le ventre et a commencé à donner des baisers sur ma queue. De ses mains, il me caressait le torse, mes pectos et descendaient jusqu’à mes fesses. C’était trop bon: mon phantasme se réalisait! Tout à coup, il a pris ma bite en bouche et a commencé à la sucer. Son va-et-vient était divin. J’ai commencé à gémir.
— Ho oui, vas-y continue!
Mes mains ont saisi sa tête et ont accompagné son mouvement. Il a ressorti ma bite et m’a regardé:
— Tu as l’air d’aimer ça... On continue?
— Et comment!
On s’est couché et on s’est positionné en 69. Au début, j’étais un peu maladroit (je mordillais sa bite... c’était la première fois!) mais j’ai vite compris ce qui lui procurait le plus de
plaisir. J’ai commencé à le sucer en faisant de plus en plus rentrer sa queue dans ma bouche.
Lui, continuait de faire coulisser mon pieux fièrement dressé. Il avalait complètement ma queue, c’était divin. À chaque fois que j’étais sur le point de venir, il s’arrêtait, me laissait me calmer puis recommençait.
Moi je m’activais à essayer de reproduire ce qu’il me faisait et qui me procurait tant de plaisir! Quand il me léchait les couilles, je l’imitais. Quand il léchait la base de ma bite, je faisais de même. À un moment, il m’a enfoncé un doigt dans l’anus et a commencé à le bouger. Là, je n’ai pas pu me retenir...
— Je viens, ahhh!
Mais lui a embouché ma queue et a continué de me sucer pendant que je lâchais 4 longues saccades de sperme. Il en avala une partie puis remonta jusqu’à ma bouche et m’embrassa.
C’était la première fois que je goûtais mon sperme et même, que j’embrassais un garçon. Nos langues se mêlaient, c’était divin, j’étais aux anges. Pendant ce temps, sa main gauche me caressait le torse et sa droite s’insinuait entre mes fesses pour venir me titiller ma petite feuille de rose. Je me doutais de ce qu’il voulait. J’avais un peu peur mais j’étais prêt à tout pour lui rendre le plaisir qu’il me faisait!
Mes mains ont saisi ses fesses et nous nous sommes caressés en nous embrassant pendant un long moment. Lorsque nos bouches se sont quittées, je me sentais prêt. Il me regardait avec un grand sourire:
— Tu veux que je te donnes encore plus de plaisir?
— Oui, mais fais attention, c’est la première fois pour moi
— Pour moi aussi, tu sais, mais ça fait un petit moment que ça me tourne dans la tête...
— Vrai? Moi aussi! Depuis que tu es venu dans le vestiaire, l’autre fois, je n’arrête pas de penser à ce moment!
— Tu es prêt?
— Ça me fait un peu peur mais vas-y, je suis prêt!
Et il m’a embrassé de nouveau.
— Suce-moi un peu pour que je bande à fond avant de te prendre!
Je me suis penché et l’ai repris en bouche
— Tu apprends vite! C’est comme sur le terrain, tu écoutes bien!
Pendant que je le suçais, il a mouillé son doigt et me l’a enfoncé dans mon petit trou. Puis il en a rajouté un second puis un troisième. Moi, je me délectais de sa queue. C’était mieux qu’une glace au chocolat et j’aurais voulu que ça dure tout le temps!
— Couche-toi sur le dos!
Je me suis exécuté, j’ai ramené mes jambes sur mes épaules et il est venu me lécher ma petite rosette (qui était déjà bien dilatée).
— Vas-y! Continue
C’était trop bon! sa langue excitait mon petit trou.
— Tu aimes, hein?
— Oui, vas-y! Prends-moi, défonce-moi!
Il me regarda, étonné de mon langage mais ne se fit pas prier. Il s’est mis à genoux, a enfilé un préservatif (je ne sais pas d’où il sortait...) et a enfoncé son gland dans mon petit cul qui n’attendait que ça.
— Ouille, ça pique un peu!
— Attends, ça va passer...
Effectivement, la sensation diminuait et devenait même agréable.
— Vas-y!
— OK, c’est parti mon ami!
Il s’est enfoncé complètement, a attendu que je m’habitue un peu puis a commencé un va-et-vient. À chaque changement de rythme, j’éprouvais un plaisir incroyable. À un moment, il a ressorti sa
queue.
— Je viens!
Et j’ai éjaculé 5 ou 6 jets sur mon torse et jusque sur mon visage! À ce moment, Vincent est sorti, a retiré le préservatif et a continué de se branler. J’ai compris qu’il allait éjaculer. Je me suis redressé et l’ai pris en bouche. Il m’a lâché plusieurs jets, il y en avait tellement que je n’avais pas le temps de tout avaler. Un fois fini, je l’ai léché pour ne pas en perdre une goutte.
— Tu as l’air d’aimer le sperme, me dit-il.
— Le tien en tout cas!
— Moi, j’aime bien le tien.
Et il m’a léché la joue où j’avais encore un peu de dèche...
— Merci beaucoup Sébastien!
— Merci à toi! C’était mieux que tout ce que j’avais imaginé! Est-ce que ça fait de moi un pédé?
— Non, tu sais, moi, j’ai une copine que j’aime... Mais rien n’empêche de prendre un peu de plaisir de temps en temps...
— Ne t’en fais pas, ça restera entre nous deux!
— J’y compte bien!
— Mais, à l’occasion, on pourrait recommencer, hein?
— Pourquoi pas? tu fais quoi le semaine prochaine, lundi?
— Rien, je suis en vacances jusqu'à vendredi!
— Ma copine part pour toute la semaine à l’étranger. Si tu veux, tu peux passer chez moi pour dîner et on ira après à l’entraînement!
— Vers quelle heure?
— Disons 16h, l’entraînement est à 20h, ça nous laisse un peu de temps...
— No problemo!
Et nous nous sommes lavés mutuellement. Puis nous nous sommes quittés en nous embrassant.
À la fin du match le samedi, il m’a donné discrètement un tappe sur les fesses:
— À lundi? ça tient toujours?
— Évidemment! J’attends ça avec impatience!
— Moi aussi, j’ai une petite surprise pour toi!
Puis il est parti!
Je ne vous raconte pas l’envie que j’avais d’être le lundi soir... Mais ça, ce sera peut-être pour un prochain épisode, si mon histoire vous a plu...
Aujourd’hui, je suis entraîneur d’une équipe de jeunes de 18 ans et je joue toujours avec Vincent. Nous sommes tous les deux mariés et avons des enfants. Ensemble et avec notre équipe, nous sommes très forts (sportivement parlant). Parfois, nous prenons un peu de plaisir à deux.
Tout à l’heure, en passant dans les douches après l’entraînement, j’ai vu un jeune espoir reluquer les autres et se mettre à bander... Qui sait s’il n’aura pas envie d’une petite gâterie, lui aussi...