Présentation

Recherche

Images Aléatoires

  • PicForEsteban-022.jpg
  • 1_20080318_055038.jpg
  • PicForEsteban-Bite-011.jpg
  • PicForEsteban-pipe---13-.jpg
  • 00---beau-trio-010.jpg
  • PicForEsteban-Bite-020.jpg

Récit XXX

Samedi 7 mars 6 07 /03 /Mars 10:05

Salut! Voilà un nouveau récit que j'ai écrit spécialement pour vous... Dites moi ce que vous en pensez!

Enjoy!

Esteban XxX

----------------------------------------

Salut, moi c’est Seb.

J'ai 18 ans, 1m85, cheveux bruns. Pas trop baraqué mais pas crevette non plus. J’habite une petite ville du Nord avec ma mère, mon beau père et mes 2 frères (Nico 20ans et Romain 17ans).

 

Aujourd’hui, je suis rentré un peu plus tôt que prévu à la maison. Un de mes profs de cours à option était absent et donc, les cours se clôturaient à 14h plutôt que 18h… Super chouette !

 

Je rentre chez moi, peinard. Je me dis déjà que je vais pouvoir mater un bon film (qui sait, un petit porno ?) avant que mon beau père ne rentre.

 

J’en profite : ma mère et mes 2 frères sont partis en visite chez ma tante pendant 1 semaine. Mon beau père travaille souvent tard (il est représentant en produits pharmaceutiques)… Bref, j’ai la maison pour moi et je compte en profiter…

 

Comme d’habitude, je rentre par l’arrière de la propriété, un petit chemin dérobé qui est un sacré raccourci pour aller à ma fac.

 

J’ouvre la porte et me sers un coca. En dégoupillant la canette, j’entends un bruit. Une sorte de cri étouffé.

 

Bizarre, je dois être seul à la maison… Aurais-je oublié d’éteindre la télé ? Je passe dans le salon mais rien à signaler, la télé (un super nouvel écran plat 100cm) est bien éteinte.

 

J’entends de nouveau un cri étouffé.

 

Prudemment, je monte sans bruit l’escalier. Je passe dans le couloir en silence et j’entends un nouveau cri ou plutôt, un gémissement.

 

J’avance car j’ai repéré d’où vient le bruit : de la chambre de ma mère et mon beau père. Je m’avance doucement et me rends compte que la porte est entrouverte…

 

Je me glisse sur le côté et, via le miroir de la penderie, je vois un spectacle étonnant : mon beau père est occupé à faire l’amour à quelqu’un !

 

D’abord un peu étonné et dégouté, je réfléchis mais ça ne peut pas être ma mère, elle est à 500km ! Je décide de regarder à nouveau et, deuxième choc, je remarque que ce n’est pas une femme mais un homme que mon beau père encule !

 

Cette vision me tétanise. Je ne sais plus bouger. Mon regard est captivé par cette scène. Dans mon futal, malgré mon stress, je sens ma queue se redresser… J’hésitais encore sur mon orientation sexuelle mais là, j’ai eu la révélation !

 

J’ai regardé la bite de mon beau père coulisser dans le cul du gars (je n’arrivais pas à voir sa tête car elle était enfoncée dans les couvertures). Le gars était à 4 pattes, le cul offert et mon beau père le chevauchait avec fougue.

 

J’entendais ses commentaires « ah, t’as un bon cul » « tu aimes ça salope ! » « Elle te fait du bien ma grosse bite »

 

Ces commentaires m’excitaient grave ! Je n’avais jamais vu sa bite avant ce jour mais effectivement, c’était une belle bête : au moins 20cm bien épaisse. Il faut dire que mon beau père n'a que 35ans et qu'il m'est déjà arrivé de me branler plusieurs fois en pensant à lui!

 

A un moment, il a retiré sa bite du fourreau, il a enlevé la capote et, dans un grand cri, a joui sur le dos de son partenaire. Ensuite, il s’est effondré sur son dos.

 

A ce moment, j’ai joui dans mon futal, sans me toucher…

 

Je me suis écarté de la porte, discrètement et me suis enfermé dans ma chambre.

 

10 minutes plus tard, j’ai entendu des voix dans le couloir

«  Allez, dépêchons nous, mon beau fils va sans doute rentrer vers 4h. Je ne connais pas son horaire précis. »

L’autre lui demande : « demain à la même heure ? »

« Je vois que t’en redemande ! Même heure et, cette fois ci, ne mets pas de sous-vêtements ! »

Je les entends rigoler et descendre puis claquer la porte.

 

La voix me dit quelque chose mais je n’arrive pas à la reconnaitre…

 

Autant dire que l’après midi, je l’ai passé à me caresser et me branler sur mon lit.

 

Excité comme une puce, J’avais été fouillé dans les affaires de mon beau père. J’avais trouvé un de ses boxers (sans doute celui de la veille) et l’avas pris pour me branler en sentant cette odeur de mâle.

J’ai aussi trouvé dans le fond d’une armoire une boite contenant un gode de bonne taille. Je l’ai pris et ce jouet m’a aidé à jouir de tout mon soul !


 

Vers 19h, quand mon beau père est rentré, je l’attendais et j’avais préparé un bon dîner.

 

Il était un peu surpris car je suis plutôt pizza – pâte quand ma mère n’est pas là. Il y avait un match de foot et je lui ai proposé de le mater avec lui. Ça arrivait parfois qu’on le fasse mais c’était plus rare depuis un moment (je sortais beaucoup le soir).

- tu ne sors pas ce soir ?

- non, rien de prévu ! Et toi ?

- non, rien.

- ta journée s’est bien passée ?

- la routine : beaucoup de client mais peu qui achètent… C’est la crise !

(La routine, tu parles ! si c’est baiser comme ça ta routine, je la veux bien moi !)

- ah…

- Et toi, ça a été les cours ?

- Oui, j’ai eu des cours chiants le matin mais après midi, ça a été beaucoup plus intéressant !

- tant mieux !

- tu travailles tard demain ?

- je pense que mon dernier rendez-vous est à 18h.

- OK, je préparerai le diner pour 19h30 alors !

- tu deviens une petite fée du logis !

J’ai rougis mais j’avais envie de lui faire plaisir, et pourquoi pas, de le séduire… J’avais encore en tête son image en train d’enculer son amant.

 

Pendant la soirée, je me suis mis en short et tee shirt moulant pour regarder le match. J’essayais de me mettre en valeur pour l’exciter un peu.

 

Il ne s’est rien passé de notable. Le match s’est clôturé sur une victoire de notre équipe. Nous avions bu 3 ou 4 bières. En rapportant les vidanges à la cuisine, je me regarder et j’ai cru déceler un regard vicieux sur les fesses de la part de mon beau père.

 

Je ne suis pas revenu tout de suite car j’avais une érection grave ! Ça se voyait à travers mon short.

 

J’ai dit que j’allais me coucher.

Dans mon lit, je me suis de nouveau enfoncé le gode dans le cul avant de jouir comme un dingue en pensant que c’était celui de mon beau père qui me pénétrait.

 

Pendant la nuit, je me suis levé pour aller pisser. En passant devant la porte de la chambre de mon beau père, j’ai vu qu’il dormait nu, sur le dos. La vision de sa queue m’a de nouveau fait bander.

Décidément, ça devenait une obsession pour moi.

 

Je me suis de nouveau branlé et je me suis rendormi avec le gode dans le cul.

 

Au petit matin, mon beau père a frappé à ma porte. J’ai rapidement remonté les couvertures (le gode était toujours là où je l’avais laissé !. Il est entré.

« Faudra aérer, ici, ça sent le mec en rut ! »

« Ouais, oké ! »

«  Bon, j’y vais, j’ai un rendez-vous plus tôt aujourd’hui ! A ce soir ! »

« OK ! Bonne journée »

Sous les draps, mon sexe avait de nouveau pointé ! Il n’a pas fallu 3 minutes pour que je jute de nouveau !

 

La matinée se passa lentement avec des cours barbants. J’ai déjeuné avec mon pote Phil. Il m’a dit qu’il devait allez chez le kiné (il s’était fait une entorse quinze jours plus tôt) début d’après midi. Je râlais un peu car sans lui, mon après midi promettait d’être chiantissime !

Puis, je me suis dit que je brosserais bien et je pourrais aller voir ce qui se passait du côté de la maison… Comment n’y avais-je pas pensé avant ?

 

Je me suis précipité et, 20 minutes plus tard, j’y étais. Je suis rentré par derrière. Il n’y avait personne… Zut ! Raté…

 

Je suis allé dans ma chambre et, à peine entré, j’ai entendu la porte qui s’ouvrait.

Je me suis précipité derrière ma porte et ai écouté. Les voix étaient étouffées :

« Ha t’es déjà là ! » (Je reconnaissais la voix de mon beau père)

« Je viens d’arriver » (le timbre me disait quelque chose. En tout cas, c’était une voix plus jeune)

« Moi aussi ! »

« C’est pas toi qui a ouvert la porte derrière ? »

(Merde, je l’avais oubliée !)

« Non… Je suppose que Seb a du oublier de la fermer ce matin ! Pas grave… »

« J’ai fait comme tu m’as dit : pas de sous vêtements… »

« C’est bien ! T’es une bonne petite pute ! » 

L’autre gloussait.

«  Viens, on monte ! Je bande déjà »

 

J’ai retenu ma respiration quand ils sont passés. Je me suis accroupi (réflexe bizarre car ils ne pouvaient pas me voir derrière ma porte).

 

J’ai entendu qu’ils discutaient un peu puis mon beau père l’a sommé de se mettre à poil.

Dans ma chambre, j’ai fait de même… Je me suis mis à poil et j’ai pris le gode. Discrètement, je me suis approché de la porte. De nouveau, elle n’était pas fermée, pour mon plus grand plaisir.

 

J’ai vu le dos de l’amant de mon beau père et là, ça a été de nouveau un choc ! Je connaissais ce dos et surtout ce petit tatouage de papillon sur l’épaule ! C’était mon ami Phil ! Dingue !

 

Phil s’est agenouillé et a gobé la bite tendue de mon beau père. Il l’a prise bien en bouche et a commencé à la pomper.

«  C’est bien ! Beaucoup mieux que la première fois ! Je vois que tu apprends vite ! C’est bien »

« Merci »

Phil souriait bêtement, complètement sous l’emprise de mon beau père.

 

De mon côté, j’avais entamé un va et viens sur ma queue tendue.

 

Puis, mon beau père a retourné Phil et l’a couché sur le lit. Il lui a mis les jambes sur les épaules.

«  T’es prêt ?»

« Oui, vas-y Henry ! Encule-moi fort »

Et mon beau père est entré en un coup.

Phil a laissé échapper un cri de douleur. Puis il a commencé un pilonnage en règle.

«  T’aime ça, hein, mon petit ! »

« Oh oui ! « 

« Tu aimes ma queue en toi, hein ? »

« Oh oui, Henry »

«  Dis le moi »

« J’aime que tu me prennes comme une chienne ! »

Je n’en croyais pas mes oreilles ! Phil, que je considérais comme un hétéro plutôt macho, qui aimait se faire traiter de petite chienne !

J’ai saisi le gode et me le suis enfoncé aussi. J’ai essayé d’adopter le même rythme que celui de mon beau père.

 

Phil avait les yeux fermé et profitait à fond !


 

Au bout de 10 minutes, il a ouvert les yeux et a dit, « vas-y, je vais jouir »

Mon beau père a accéléré un peu et j’ai vu mon pote éjaculer sur son torse 5 jets puissants. Le premier est même arrivé sur ses lèvres.

Il a crié lors de sa jouissance.

Ça a déclenché chez moi une jouissance incroyable. J’ai serré les lèvres mais je n’ai pu laisser échapper un petit gémissement. J’ai vu mon beau père se retourner vers la porte mais il a continué à pilonner Phil puis s’est enlevé et a retiré la capote pour présente sa queue tendu à la bouche de Phil.

Il lui a éjaculé dans la bouche.

« Avale mon jus, ma petite pute »

Phil s’est activé et a tout avalé. Puis, il a nettoyé la bite de mon beau père.

 

J’en ai profité pour me glisser dans ma chambre. J’étais encore tout retourné (et excité) de ce que j’avais vu.

 

15 minutes plus tard, après une petite douche, ils sont repartis.

 

Encore tout ébranlé (et tout branlé…), j’ai foncé sous le douche.

Mes aïeux, quelle jouissance !

 

Un doute me taraudait : mon beau père m’avait-il entendu ?

 

On verrait ce soir…

 

Je suis reparti aux cours. Je n’avais raté qu’une heure de cours. Au cours de 17h, Phil s’est ramené et s’est mis à côté de moi.

« ça a été la kiné ? »

« Génial ! »

S’il savait que je savais…


XxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXxXx


ça vous a plu? Laissez moi voc comm'!

En fonction de ça, je modifierai peut-être les suites en conséquences...


Ecrire un commentaire - Voir les 5 commentaires
Publié dans : Récit XXX - Par Esteban
Samedi 14 février 6 14 /02 /Fév 10:01
Voilà une nouvelle histoire écrite récemment et non publiée encore... Bref, une exclusivité mondiale!!!

Laissez moi vos commentaires...

----------------

Damien, l'ami soumis


Sébastien allait dîner avec un ancien copain de cours rencontré par hasard dans un centre commercial. La rencontre avait été joyeuse : ça faisait plus de 10 ans qu’ils ne s’étaient pas vus mais trop courte : chacun était pressé et accompagné de sa petite famille et faisait ses achats de noël.


Rendez-vous avait été pris après les fêtes pour un petit diner sur un temps de midi, sans les familles respectives.


Sébastien est commercial pour une grande marque de chaussure de sport et son boulot lui permet de gérer son temps comme il l’entend. Sébastien a 33ans, père de 2 petites filles et mari d’une superbe blonde à forte poitrine. Toutefois, il ne peut s’accommoder du train-train quotidien de la vie en couple et fait pas mal de rencontre (masculine ou féminine) grâce à son boulot. Certaines affaires se traitent dans une chambre de motel ou dans l’arrière salle d’un magasin, au grand plaisir de toutes les parties.


Sébastien a réservé dans une pizzeria où il est un habitué. Le service y est impeccable et d’une discrétion sans égal dans cette ville du Nord. Il arrive 5 minutes avant l’heure fixée, une bonne habitude qui lui vient de son boulot.


Damien, son ancien collègue de classe arrive avec quelques minutes de retard.


Ils s’installent et commencent à discuter. Bien vite, ils retrouvent leur complicité d’antan. Damien est un peu tendu et Seb ne sait pas pourquoi.  


Ils se remémorent les cours, les blagues faites aux autres étudiants et aux profs, les copains et ils en arrivent à parler de la dernière fois qu’ils se sont vus avant la rencontre surprise dans le centre commercial, il y a quelques jours.

- Sacré Damien ! Et donc la dernière fois que l’on s’est vu, c’était lors de ton mariage ?

- c’est vrai, on est parti le lendemain en voyage de Noces et j’ai enchainé avec mon boulot à Marseille.

- C’est ça ? je t’avais envoyé des lettres pour prendre de tes nouvelles  mais elles m’étaient revenues avec la mention « sans adresse ». Je pensais que Sonya, ton épouse, t’avait kidnappé !

- C’était presque ça, en fait. A cause d’elle, on est parti à Marseille et j’ai coupé tous les ponts avec ma famille qui ne l’appréciaient pas beaucoup et tous mes amis…

- Mais tu es de retour ! Tu restes combien de temps ici ?

- Définitivement !

- Ah bon ? Excellent, ça !

- En fait, j’ai quitté Sonya il y a 3 mois, j’en pouvais plus !

- Quoi ? Et tes 2 enfants ?

- J’ai leur garde lors de la moitié des vacances scolaires et ils restent avec leur mère pendant la période scolaire. C’est l’arrangement qu’on a trouvé !Toutes les parties sont contentes donc ça va.

- Wow… Quelle nouvelle ! Je ne m’attendais pas à ça… Désolé…

- Ne le sois pas du tout ! Depuis qu’on s’est séparé, je revis enfin ! Tu peux pas t’imaginer la galère que je vivais : j’étais traqué par elle, elle me téléphonait toutes les 2 heures pour savoir ce que je faisais, avec qui j’étais, pourquoi je n’étais pas encore rentré. Plus possible de faire une activité avec d’autres personnes ! Elle me phagocytait… J’en ai eu marre et je l’ai quitté y’a 3 mois.


La conversation se poursuit, Damien a l’air soulagé que Seb ne lui fasse pas la morale pour voir quitté sa femme. Le premier apéro laisse sa place à un second puis le vin rouge arrive. Ils parlent beaucoup et boivent pas mal en dégustant leur pizza. Damien est déjà un peu pompette mais il est vraiment à l’aise maintenant.


Seb lui demande des nouvelles de son nouveau boulot. Damien est enchanté et vante sa nouvelle boîte. Il adore son nouveau poste. Il est devenu aussi délégué commercial mais pour une petite usine de vêtements.


Petit à petit, il se lâche pour enfin se laisser aller aux confidences :

- Depuis 2 mois que j’ai changé de boulot, mon patron m’a fait découvrir ma vrai nature !

- Pardon ? De quoi tu parles ?

- Tu te rappelles les petites soirées que l’on passait à 2, quand on matait des films pornos ?

- Oh que oui ! C’était sympa !

- Sympa mais encore soft : une petite branlette, y’a juste une fois où on s’est branlé mutuellement !

Sébastien rougissait un peu en se remémorant ces bons moments passés à 2.

- je me rappelle, puis on a décidé d’arrêter… C’était mieux pour nous.On est pas des PD, non? (il disait ça plus pour se dédouaner)

- C’est vrai, c’est ce que je pensais à l’époque… Mais j’ai changé d’avis !

- Hein ?

- En fait, après ma séparation en novembre dernier, je suis revenu sur Lille car j’avais eu une proposition d’une petite entreprise qui cherchait un commercial qui pourrait devenir le bras droit du patron… Je rigole car l’annonce ne croyait pas si bien dire…

- ???

- En fait je suis devenu son bras droit dans tous les sens du terme !

- ???

- Tu ne comprends pas ?

- non, là, j’ai du louper un épisode !

- Très vite, il m’a mis à l’aise. On est parti à 2 pour des voyages professionnels et je suis devenu son amant… Avec ma main droite, je le branle souvent !Et je fais pas que ça!

- wow !

- ça te choque ?

Sébastien n’était pas choqué… Mais plutôt étonné ! Il n’imaginait pas du tout son ami Damien changer de bord. Lui qui est toujours si propre sur lui et qui avait pas mal de succès auprès des  filles lors des études…

- Je ne m’attendais pas du tout à ça…

- Je m’en doute bien… En fait, j’ai décidé d’assumer tout à fait ce que je suis devenu…

- Pardon ? De quoi tu parles ?Que tu préfères les hommes


Damien a rougit fortement et s'est approché de son ami pour lui murmurer :

(Tout bas) - Non... Pas ça... En fait, Je suis devenu une lope !

- Hein ?

(Damien était devenu tout rouge et souriait en voyant l’air étonné de son copain)

-  je suis devenu une lope ! Un esclave, si tu veux… J’obéis aux ordres de mon maitre…

- Quoi ? Ton maître ?

- En fait, je me suis rendu compte que j’aimais bien être dominé. Je prends énormément de plaisir à obéir aux ordres et à me soumettre aux volontés sexuelles de mon partenaire…Je l'appelle mon maitre, tu vois?

- Wow… là, je suis sur le cul !

- En fait, mon patron me domine et quand je suis chez moi, je cherche sur internent des plans sexe où je suis dominé !

- Ecoute Damien, ça fait pas mal d’infos à avaler, ça…

- je te choque ?

Seb prend une petite pause avant de répondre puis regarde son ami dans les yeux.

- En fait, non… je suis étonné car je ne m’attendais pas du tout à ça de ta part mais je dois avouer que c’est plutôt  un autre sentiment qui m’habite…

- Un sentiment de dégout ?

Seb voit une lueur de panique dans le regard de son ami

- Non, je dirais plutôt une excitation…

- ???

- Tu m’as dit que tu ne savais pas résister à un ordre, c’est ça ?

- Heu… oui

- Donc si je te donne un ordre à tendance "sexe" maintenant, tu m’obéiras ?

- Ecoute Seb, je sais pas si…

- Ne m’interromps pas… Tu m’obéis maintenant, OK ?

Damien regarde son ami dans les yeux puis les baisse, incapable de soutenir son regard.

- OK…

- C’est bien… Je vois que tu as compris.


Seb prend dans sa veste son appareil photo numérique et le met sur la table.

- Ecoute Damien, tu vas prendre mon appareil photo. Tu vas ensuite dans les WC. Je veux que tu me ramènes, dans 5 minutes, 5 photos de ta queue bandée et de ton petit trou accueillant !

- Quoi ?!?

- tu m’as compris !


Damien hésite mais Seb sent qu’il a gagné. Il devine une érection dans le pantalon de costume de son copain.

Seb le saisi par le bras au moment où il s’en va

- et je veux aussi que tu retires ton slip et que tu me le donnes sous la table à ton retour.

Damien regarde autour de lui, la pizzeria est pleine… Il hésite un peu

Compris?

Compris !


Lorsque Damien est hors de vue, Sébastien avale d’une traite son verre de vin. Il ne pensait pas que cette journée allait être aussi agréable… Certes il revoyait son ancien ami mais ça se révélait encore plus intéressant… Il allait mettre à l’œuvre son fantasme : dominer une lopette.Qui sait si ce petit jeu pouvait aboutir plus loin. C'est vrai que ça faisait quelques jours qu'il n'avait pas déchargé et ses couilles étaient bien (trop) pleines...


Son côté gay ressortait à toute vitesse… Certes, il avait bien quelques clients avec lesquels il baisait de temps en temps. C’était plus le sentiment grisant de se vider les couilles lors de ses longues journées qui le préoccupait à ce moment là. Et puis, ces clients là se montraient très généreux en prenant beaucoup de marchandise. Et comme il était payé, en partie, sur son chiffre d’affaire, c’était faire d’une pierre 2 coups.


Mais ici, c’était différent. D’abord, il connaissait (très) bien son partenaire, ce n’était pas une personne qui habitait à l’autre bout de le France et qu’il ne reverrait que dans 6 mois voire un an mais un ami avec lequel il avait fait les 400 coups…


Bref, la situation l’excitait au maximum. Il était content d’avoir saisi la balle au bond et d’avoir imposé sa volonté à Damien… Enfin, fallait voir comment ça allait évoluer.


Damien est revenu 5 minutes plus tard, rouge pivoine.

Au moment où il s’est assis, leur commande arrivait. Tout deux s’installèrent et commencèrent à manger.

- alors ? lança Seb

Damien regarda autour de lui et puis, sortit son sous-vêtement et le donna, sous la table à Seb. Seb jeta un coup d’œil, c’était un jockstrap noir, bien échancré à l’arrière.


- Pas mal… Tu mets souvent ça ?

Damien baissait la tête, gêné

Tous les jours. Mon maître veut que je sois prêt à tout moment.

Oh… Je vois… Bonne idée de la part de ton maître…

Et le reste ?

Damien faillit étouffer. Il regarda autour de lui. Personne ne semblait avoir rien remarqué. Il sortit alors l’appareil photo de sa poche et la donna à Seb.

-  Merci !


Seb alluma l’appareil et fut positivement surpris du résultat. Il y avait une vingtaine de photo de Damien. D’abord habillé, puis sans son pantalon puis en jockstrap (de face, de côté (il bandait) et de dos)








puis sans son jockstrap. Il y avait 7 ou 8 photos de sa queue en érection.

- je ne me rappelais pas que tu étais circoncis…

- j’ai du le faire il y a 8 ans…

Ensuite, il y avait 2 ou 3 photos en gros plans du petit trou imberbe de son ami.

- ha, c’est ça ? Et les poils ? Tu es rasé depuis longtemps ?

- depuis que mon maître me l’a ordonné. Je suis obligé de me raser tous les 3 jours pour avoir la peau bien lisse.

En disant ça, Damien rougissait encore un peu (si c’était possible). Il regardait son assiette et n’osait pas lever les yeux.


La dernière photo montrait Damien enfonçant son doigt dans son petit trou.

- Super ! Tu as réussi la première partie de ta mission…

Damien avait toujours les yeux baissés.

- Maintenant, on va manger le dessert puis je m’occuperai de toi… Ok ?

- OK !

- OK qui ?

- OK maitre !

- C’est bien… D’ailleurs, en mangeant, tu vas me raconter les différents plans que ton patron t’a fait faire.


Chacun mangeant son dessert. Seb interroge Damien sur sa nouvelle sexualité. Damien raconte son dépucelage par son patron, sa découverte de sa condition de lopette et ses différents plans domination (ça pourra faire l’objet d’une autre histoire, si j’ai des demandes).

Seb est excité au possible, il bande bien dur. En matant du côté du pantalon de Damien, Seb avait remarqué sa belle queue tendue en continu et la petite tache qui apparaissait au niveau de son gland.


Le restaurant se vidait et les tables autour d’eux étaient maintenant vides. Seb demanda l’addition.

- Damien, la seconde phase va commencer… Pendant que je paie, tu sors, tu descends au niveau -2 du parking, tu verras ma BMW noire. Je veux que tu te mettes à poil, le temps que j’arrive et tu m’attends là !

- Quoi ? Mais si quelqu’un arrive ?

- ça pimentera un peu le jeu…

- T’es fou ?

- Tu ne veux pas m’obéir ?

Seb avait un peu haussé le ton et regardait Damien dans les yeux. Celui-ci, une fois de plus, capitula.

- J’y vais. Mais ne traine pas, il fait froid dehors !


Seb paya à son aise, accepta même un petit amaretto, offert par le patron, avant de partir. En descendant dans le parking.


Il découvrit Damien, appuyé face à l’auto, les jambes écartées, offert.


Cette vue faillit faire jouir Seb. Ça faisait bien longtemps qu’il n’avait plus vu son copain à poil et cette vue le faisait bander à max !

- Tourne-toi et mets-toi à genoux.


Damien s’exécuta et lorsque Seb vint coller son pantalon a sa tête, Damien s’affaira pour ouvrir son pantalon et libérer la bête trop lo ngtemps contenue.

Seb a de nouveau cru défaillir lorsque son ami goba sa queue. Il arriva à l’emboucher totalement ! C’était la première fois que ça arrivait ! Ni sa femme, si ses maitresses, ni ses liaisons de passage n’avaient jamais réussi à l’engober complètement. La sensation était grisante. Il se retint de ne pas jouir directement. Damien commença alors un mouvement de succion.


N’y tenant plus, Seb commença à baiser la bouche de son ami. Il touchait la glotte et sentir cette langue qui entourait et léchait le gland à chaque mouvement eu raison de sa résistance. Il jouit 4 longs jets dans la bouche de son ami.


Celui-ci avala le tout et lécha la belle bite de son maître pour ne rien laisser. Seb haletait encore d’une telle jouissance. Damien le regardait maintenant, attendant la suite. Il se branlait lentement pour maintenir son excitation mais sans plus.


Seb remarqua la belle grosse queue de son ami. Assurément, il faudra un jour qu’il la goute aussi, elle avait l’air trop appétissante. Mais une autre fois !

- j’en rêvais depuis que l’on se branlait ensemble, lâcha Damien.

- Moi aussi, j’en rêvais et, crois moi, tu pourras recommencer quand tu voudras… Euh non, quand JE le voudrai ! Mais je n’en ai pas fini avec toi ! Retourne-toi ! Mets tes mains sur le capot, écarte tes jambes et tes fesses !


Damien sourit et se mit en position.


Seb se positionna derrière lui, bandé à max et fit coulisser sa bite dans le sillon de son ami. Il excitait sa petite rondelle.

Damien couinait de plaisir.

- Mettez la moi maitre, enculez-moi ! S’il vous plait !

A ces mots, Seb était encore plus excité et fourra son dard dans le fourreau de Damien.


Celui-ci fit une grimace mais ne dit rien…

- ça va ? demanda Seb

- oui maître, encore plus fort ! Allez-y à fond !

Seb remarqua que Damien était dans son trip et que ça l’excitait encore plus. Il commença à le sodomiser en force.

Damien marmonnait des « oh oui » « encore » « c’est bon » « encore, maitre ! » « Plus fort »

Seb se prenait au jeu

- Tu aimes ça, hein ?

- Oh oui, Maitre, j’aime ça !

- tu aimes quoi ?

- J’aime quand vous m’enculez comme ça, si virilement ! Merci !


Le rythme augmenta encore. Seb était comme fou, la sensation de force et de jouissance se mêlaient. A un moment, il allait jouir. Damien a du le sentir car il s’est retiré et a saisi la bite en bouche pour av aler les 3 jets de sperme. Cela déclencha sa jouissance aussi.


Seb s’assit et soufflait. Ses jambes flageolaient de cette jouissance. Jamais il n’avait pris son pied comme ça ! Damien s’affairait à lécher la moindre goutte de jus afin de bien nettoyer la queue de son ami.


Seb se releva. Damien aussi, il ne disait aucun mot.

- Merci Damien, c’était super !

- Merci à toi, Seb, j’ai adoré aussi.

- Tu fais quelque chose demain soir ?

- Heu, je sais pas…

- je t’envoie un texto pour te donner l’heure et le lieu du rendez-vous.


Le ton était directif. Rien à rajouter.


Damien sourit à l’idée d’avoir un nouveau maître… Il se rhabilla et partit à son boulot, ravi. Il se rendit compte qu’il n’avait pas récupéré son jockstrap. Tant pis. Cet après midi, il était seul au bureau, il pourrait se remémorer son aventure de ce midi…


Une heure après, Damien reçu un texto : Si tu veux récupérer ton jock, rendez-vous tout à l’heure à 17h, hôtel de la Tour chambre 212. Prépare ton cul, esclave, ça va chauffer


Damien se dit que décidément, la journée allait être bonne…


(Vous voulez la suite ? Dites le moi et dites moi ce que vous voudriez y voir !)

Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Publié dans : Récit XXX - Par Esteban
Samedi 24 janvier 6 24 /01 /Jan 10:01
Nouveau récit (illustré cette fois...):

Mon entraîneur

Je m’appelle Sébastien, j’avais 16 ans lorsque cette aventure m’est arrivée et cela reste un des meilleurs souvenirs de ma vie!


Je jouais au volleyball dans une équipe composée de gens tous plus âgés que moi. Comme j’étais très doué et que j’étais le plus jeune, j’étais en quelque sorte la mascotte de l’équipe. L’ambiance était excellente. C’étaient tous de bons sportifs, bien musclés. Dans les douches, j’aimais bien regarder les autres se déshabiller et se promener la queue à l’air. J’ai dû à plus d’une reprise dissimuler un début d’érection en voyant toutes ces belles bites.


Au début de la saison, après un match, notre entraîneur est venu nous féliciter après une victoire pendant que l’on se douchait. J’ai eu l’impression qu’il me regardait et ce sentiment m’a excité et j’ai commencé à bander. En voyant ça, il m’a adressé un petit sourire et a continué à nous congratuler.


Il faut dire, Vincent notre entraîneur, avait à peine 24 ans et c’était un grand sportif: il faisait partie de l’équipe première du club et était considéré par beaucoup comme le meilleur joueur du club, voire de la région... Il était brun-châtain et des yeux noisettes à croquer. Dans toutes les situations, il trouvait le mot pour rire ou pour mettre en confiance. Toujours sympa, souriant, parfois dur mais toujours juste. Bref, il représentait tout ce que je voulais devenir.


Je dois dire qu’à partir de cet épisode dans le vestiaire, il a alimenté tous mes phantasmes. Je me masturbais sauvagement, parfois 3 à 4 fois de suite (ah, c’était le bon temps!), en pensant à lui.


En milieu de saison, lors d’un entraînement où beaucoup de joueurs étaient absents, nous n’étions que 5, alors Vincent a participé avec nous pour faire nombre. Il était, comme toujours, très fort et son style de jeu était parfait. C’était très agréable mais aussi très intensif! En fin de séance, j’avais une crampe au mollet. L’entraînement était terminé et les autres étaient partis se doucher. Vincent est venu près de moi et m’a montré comment m’étirer pour diminuer la douleur. Il m’a aidé en me tenant le pied et puis, m’a massé le mollet. À son contact, j’ai directement bandé. Ce n’était pas très discret... À travers mon short, il l’a directement remarqué et m’a adressé un grand sourire que je lui ai rendu.


— Ça m’a l’air bien serré là-dedans!


Je suis devenu tout rouge pivoine... La honte! Le silence qui a suivi a été brisé par les autres qui avaient fini de se changer et qui partaient.


Vincent m’a relâché, a pris ses affaires et s’est dirigé vers les vestiaires. Je bandais toujours à fond. J’ai repris un peu mes esprits puis me suis dirigé vers le vestiaire. Au moment où j’entrais, Vincent était nu et entrait dans la douche commune. C’était la première fois que je le voyais tout nu. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il était bien membré: un belle queue de 20cm, circoncise et un petit triangle de poils très court. Mon érection m’a repris de plus belle.


Je me suis déshabillé tant bien que mal, mon 18cm bien tendu et décalotté. Je suis rentré sous la douche bien chaude, toujours bandé. Nous n’étions plus que nous deux, tous les autres étaient partis. Vincent me tournait le dos en se savonnant. Ses fesses étaient fermes, brillantes.


En le voyant comme ça, j’ai été pris d’une envie de le serrer dans mes bras. Je me suis approché de lui et j’ai posé ma main sur son dos. Il s’est retourné et c’est alors que j’ai remarqué qu’il bandait aussi.

— Tu veux me savonner le dos?


Un peu pris au dépourvu, j’ai articulé:

— Pourquoi pas? en lâchant un grand sourire pepsodent...

— OK mais laisse moi d’abord commencer...


Et il s’est agenouillé devant moi, m’a caressé le torse puis le ventre et a commencé à donner des baisers sur ma queue. De ses mains, il me caressait le torse, mes pectos et descendaient jusqu’à mes fesses. C’était trop bon: mon phantasme se réalisait! Tout à coup, il a pris ma bite en bouche et a commencé à la sucer. Son va-et-vient était divin. J’ai commencé à gémir.

— Ho oui, vas-y continue!


Mes mains ont saisi sa tête et ont accompagné son mouvement. Il a ressorti ma bite et m’a regardé:

— Tu as l’air d’aimer ça... On continue?

— Et comment!





On s’est couché et on s’est positionné en 69. Au début, j’étais un peu maladroit (je mordillais sa bite... c’était la première fois!) mais j’ai vite compris ce qui lui procurait le plus de plaisir. J’ai commencé à le sucer en faisant de plus en plus rentrer sa queue dans ma bouche. Lui, continuait de faire coulisser mon pieux fièrement dressé. Il avalait complètement ma queue, c’était divin. À chaque fois que j’étais sur le point de venir, il s’arrêtait, me laissait me calmer puis recommençait.


Moi je m’activais à essayer de reproduire ce qu’il me faisait et qui me procurait tant de plaisir! Quand il me léchait les couilles, je l’imitais. Quand il léchait la base de ma bite, je faisais de même. À un moment, il m’a enfoncé un doigt dans l’anus et a commencé à le bouger. Là, je n’ai pas pu me retenir...

— Je viens, ahhh!


Mais lui a embouché ma queue et a continué de me sucer pendant que je lâchais 4 longues saccades de sperme. Il en avala une partie puis remonta jusqu’à ma bouche et m’embrassa.


C’était la première fois que je goûtais mon sperme et même, que j’embrassais un garçon. Nos langues se mêlaient, c’était divin, j’étais aux anges. Pendant ce temps, sa main gauche me caressait le torse et sa droite s’insinuait entre mes fesses pour venir me titiller ma petite feuille de rose. Je me doutais de ce qu’il voulait. J’avais un peu peur mais j’étais prêt à tout pour lui rendre le plaisir qu’il me faisait!


Mes mains ont saisi ses fesses et nous nous sommes caressés en nous embrassant pendant un long moment.



Lorsque nos bouches se sont quittées, je me sentais prêt. Il me regardait avec un grand sourire:

— Tu veux que je te donnes encore plus de plaisir?

— Oui, mais fais attention, c’est la première fois pour moi

— Pour moi aussi, tu sais, mais ça fait un petit moment que ça me tourne dans la tête...

— Vrai? Moi aussi! Depuis que tu es venu dans le vestiaire, l’autre fois, je n’arrête pas de penser à ce moment!

— Tu es prêt?

— Ça me fait un peu peur mais vas-y, je suis prêt!


Et il m’a embrassé de nouveau.

— Suce-moi un peu pour que je bande à fond avant de te prendre!

Je me suis penché et l’ai repris en bouche

— Tu apprends vite! C’est comme sur le terrain, tu écoutes bien!

Pendant que je le suçais, il a mouillé son doigt et me l’a enfoncé dans mon petit trou. Puis il en a rajouté un second puis un troisième. Moi, je me délectais de sa queue. C’était mieux qu’une glace au chocolat et j’aurais voulu que ça dure tout le temps!

— Couche-toi sur le dos!


Je me suis exécuté, j’ai ramené mes jambes sur mes épaules et il est venu me lécher ma petite rosette (qui était déjà bien dilatée).

— Vas-y! Continue

C’était trop bon! sa langue excitait mon petit trou.

— Tu aimes, hein?

— Oui, vas-y! Prends-moi, défonce-moi!


Il me regarda, étonné de mon langage mais ne se fit pas prier. Il s’est mis à genoux, a enfilé un préservatif (je ne sais pas d’où il sortait...) et a enfoncé son gland dans mon petit cul qui n’attendait que ça.

— Ouille, ça pique un peu!

— Attends, ça va passer...

Effectivement, la sensation diminuait et devenait même agréable.

— Vas-y!

— OK, c’est parti mon ami!


Il s’est enfoncé complètement, a attendu que je m’habitue un peu puis a commencé un va-et-vient. À chaque changement de rythme, j’éprouvais un plaisir incroyable. À un moment, il a ressorti sa queue. Je ressentais une sensation de vide. Aussitôt, il m’a enfoncé son pieu complètement puis a accéléré le rythme. Je n’ai pas su me retenir, je criais, haletais, c’était bon!

— Je viens!


Et j’ai éjaculé 5 ou 6 jets sur mon torse et jusque sur mon visage! À ce moment, Vincent est sorti, a retiré le préservatif et a continué de se branler. J’ai compris qu’il allait éjaculer. Je me suis redressé et l’ai pris en bouche. Il m’a lâché plusieurs jets, il y en avait tellement que je n’avais pas le temps de tout avaler. Un fois fini, je l’ai léché pour ne pas en perdre une goutte.

— Tu as l’air d’aimer le sperme, me dit-il.

— Le tien en tout cas!

— Moi, j’aime bien le tien.


Et il m’a léché la joue où j’avais encore un peu de dèche...

— Merci beaucoup Sébastien!

— Merci à toi! C’était mieux que tout ce que j’avais imaginé! Est-ce que ça fait de moi un pédé?

— Non, tu sais, moi, j’ai une copine que j’aime... Mais rien n’empêche de prendre un peu de plaisir de temps en temps...

— Ne t’en fais pas, ça restera entre nous deux!

— J’y compte bien!

— Mais, à l’occasion, on pourrait recommencer, hein?

— Pourquoi pas? tu fais quoi le semaine prochaine, lundi?

— Rien, je suis en vacances jusqu'à vendredi!

— Ma copine part pour toute la semaine à l’étranger. Si tu veux, tu peux passer chez moi pour dîner et on ira après à l’entraînement!

— Vers quelle heure?

— Disons 16h, l’entraînement est à 20h, ça nous laisse un peu de temps...

— No problemo!


Et nous nous sommes lavés mutuellement. Puis nous nous sommes quittés en nous embrassant.



À la fin du match le samedi, il m’a donné discrètement un tappe sur les fesses:

— À lundi? ça tient toujours?

— Évidemment! J’attends ça avec impatience!

— Moi aussi, j’ai une petite surprise pour toi!

Puis il est parti!


Je ne vous raconte pas l’envie que j’avais d’être le lundi soir... Mais ça, ce sera peut-être pour un prochain épisode, si mon histoire vous a plu...


Aujourd’hui, je suis entraîneur d’une équipe de jeunes de 18 ans et je joue toujours avec Vincent. Nous sommes tous les deux mariés et avons des enfants. Ensemble et avec notre équipe, nous sommes très forts (sportivement parlant). Parfois, nous prenons un peu de plaisir à deux.


Tout à l’heure, en passant dans les douches après l’entraînement, j’ai vu un jeune espoir reluquer les autres et se mettre à bander... Qui sait s’il n’aura pas envie d’une petite gâterie, lui aussi...


N’hésitez pas à me faire vos remarques, critiques ou autres! À bientôt!
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Publié dans : Récit XXX - Par Esteban
Samedi 17 janvier 6 17 /01 /Jan 10:00
Nouvelle histoire X...

Ecrite il y a 4 ans suite à des vacances en France, avec plusieurs couples d'amis... De là est né cette histoire - fantasme...

Histoire XXX - Vivement les vacances

Cette histoire date d’il y a un an maintenant.

D’abord, je me présente : Sébastien 26 ans, 1m85 70kg, la peau toujours bronzée, cheveux noirs, courts. Que dire de plus sinon que j’aime le sexe, que je suis gay depuis mes 16 ans, date à laquelle j’ai eu ma première relation sexuelle.

Comme je le disais, il y a un an, je suis parti en vacances dans le sud de la France avec plusieurs amis et amies. Quand je dis « amis », ce sont en fait des amis d’une amie… Aucun d’eux (mis à part Sophie, l’amie en question) ne connaissaient mes préférences sexuelles et ce n’était pas plus mal, ça éviterait que certains puissent se sentir mal à l’aise en ma présence. Je suis donc arrivé avec Sophie à la villa que l’on avait loué, le samedi, début d’après midi. Les 3 couples avec qui nous partagions la villa étaient déjà arrivés : Laure et Cédric, Camille et Xavier, Stéphanie et Vincent.

Dans la villa, il y avait 3 chambres double, une chambre avec deux lits simples et un divan lit double dans le salon. Sophie et moi avons pris la chambre avec lits simples, vous vous en doutez. La fin d’après midi se passa autour de la piscine à faire connaissance avec les autres et à des joutes aquatiques.

Le repas du soir (un barbecue) fut expédié et nous avons discuté jusque tard dans la nuit. A ce moment, je connaissais bien tout le monde et le courant passait bien. Les vacances s’annonçaient paisibles mais sans sexe (malheureusement). J’avais bien remarqué que le couple de Stéphanie et Vincent battait un peu de l’aile, Stéphanie n’arrêtant pas de dénigrer son copain, ce qui énervait ce dernier au plus haut point… Moi, je m’amusais bien de cela mais j’étais un peu gêné pour Vincent qui m’avait l’air fort sympathique.

La première nuit fut calme.

Le lendemain matin, toutes les filles sont parties au marché matinal et il ne restait que les mecs. Nous avons pu discuter et là, les commentaires machos reprenaient le dessus. J’ai fait plus amples connaissances avec Vincent qui était vraiment un petit comique. Les autres l’ont embêté à plusieurs reprises en lui disant qu’il se faisait marcher sur les pieds par sa copine. Il ne réagissait pas et détournait à chaque fois subtilement la conversation vers d’autres sujets.

Après quelques longueurs dans la piscine, je me suis étendu pour bronzer (c’est les vacances, quand même) à côté de Vincent. Il était couché sur le dos et, en installant mes affaires, je n’ai pu m’empêcher de le regarder. Il était vraiment beau. Cheveux châtain, musclé, avec des abdos ressemblant vachement à des tablettes de chocolat, il était à croquer… Il fermait ses beaux yeux bleus. Je commençais à bander, je me suis donc dépêché de me coucher sur le ventre pour dissimuler ce « petit » détail. Les 2 autres sont rentrés pour regarder la télé et nous sommes restés à deux à bronzer. Il a entamé la conversation :

- Tu sors pas avec Sophie, en fait ?
- Heu, non…
- C’est vrai ? Et tu voudrais ? Je peux t’arranger le coup, si tu veux… Je le connais bien !
- C’est gentil mais on se connaît trop bien et ça pourrait pas fonctionner entre nous ! et puis c’est pas mon genre (je mentais quand même vachement bien !)
- Et c’est quoi ton genre ?
- Pas Sophie en tout cas !
Et on a commencé à rire.
- Et toi, ça va avec Stéphanie ? ça fait longtemps que vous êtes ensemble ?
- A la première question, c’est non et à la seconde : trop longtemps !
- Ah…
- En fait, tu as dû remarquer que ça ne va plus très fort entre nous…
- Ouais, j’ai cru remarquer.
- En fait, on s’est dit que ces vacances étaient un cap : ça passe ou ça casse. Mais je pense que ça va casser !
- Faut pas dire ça !
- Elle m’énerve vraiment ! Je la supporte de moins en moins !
Je sentais bien qu’il avait besoin de se confier et je le laissais vider son sac.
- Tout ce que je fais n’est jamais assez bien pour elle, elle est désagréable tout le temps ! Elle m’engueule tout le temps et moi, je ne réponds pas… Les autres ont raison : elle me marche sur les pieds !
- Mais tu l‘aimes ?
- …
- Hein ? tu l’aimes ?
- Je sais plus…
J’ai vu une larme couler sur sa joue. Il a mis ses lunettes de soleil, s’est mouché.
- Et elle ? Elle t’aime ?
- Je ne sais pas du tout… Je sais plus !
- Demande lui ! Discutez en ! c’est quand même la base d’un couple, non, l’amour ?
Incroyable, je commençais à donner des leçons de couple à un hétéro, moi le gay de service ! C’était bien la première fois !

Les filles sont revenues et, en se levant, Vincent m’a dit :
- Merci pour les conseils ! je vais essayer ! ça fait du bien de pouvoir parler avec quelqu’un de confiance ! Merci !
- De rien !
Là, je m’étais fait un ami… en le regardant partir vers la maison, je me suis dit « dommage qu’il est hétéro » !

La journée s’est ensuite passée dans la piscine, entre les rires, les cris et les jeux divers. Le soir, Xavier a sorti sa guitare et nous a donné un mini concert improvisé.

Nous sommes allé dans nos chambres et j’ai discuté avec Sophie. Vers minuit, on a entendu crier ! c’était Stéphanie et Vincent qui s’engueulaient ! ça a duré une bonne demi heure ! Le genre s’il y avait eu des assiettes dans leur chambre, plus une ne s’en serait sortie entière ! Vers minuit et demi, on a entendu la porte de la chambre claquer et puis le calme est revenu. Sophie, entre temps, m’avait annoncé qu’en fait Stéphanie attendait le moment pour annoncer à Vincent que c’était terminé entre eux. Elle m’a dit que depuis un petit moment ça n’allait plus (ha bon ? J’avais pas remarqué !) même au point de vue sexe…

Je n’arrivais pas à m’endormir, il faisait trop chaud. Alors que Sophie dormait à point fermé, j’ai décidé d’aller m’installer à la belle étoile pour dormir. Je suis sorti discrètement et suis allé m’installer près de la piscine. C’était vraiment calme et j’étais bercé par le bruit des cigales. Puis j’ai entendu quelque chose qui bougeait sur ma droite, j’ai ouvert les yeux et je me suis redressé. C’était Vincent qui se tenait à côté de moi, debout…
- Je peux m’asseoir ?
- Heu… Pas de problème !
Il a commencé à me raconté leur dispute. Pleins de sujets futiles mais je le laissais parler, ça lui faisait du bien. Il m’a dit qu’elle lui reprochait de ne pas prendre de plaisir lors de leur rapport. Puis il m’a avoué que c’était vrai pour lui aussi, que Steph ne l’excitait plus…
- T’as déjà eu ça ?
- Heu… Non, pas comme ça en tout cas
- En fait, je peux te confier un secret ?
- Vas-y, on est pote !
- Chaque fois que je suis avec Steph, pour m’exciter, je pense à des mecs à poil ! ça te paraît bizarre, hein ?
Là, j’ai été pris d’une énorme érection ! Heureusement que ma couette dissimulait cette partie de mon corps…
- En fait, non… ça arrive parfois !
Un long silence a suivi mes paroles. Je sentais qu’il grelottait un peu. Torse nu avec un petit vent frais, c’est vrai qu’il commençait à faire plus frais…
- Tu veux un bout de couette ?
- C’est gentil merci !
Et il s’est glissé à côté de moi. On a plus parlé. On s’est endormi, côte à côte.

Le matin, je me suis réveillé avant Vincent, il avait son bras sous mon tee shirt. Il avait dû le glisser pendant la nuit. En soulevant la couette, j’ai senti un liquide gluant sur ma jambe. Visiblement, mon voisin s’était branlé à côté de moi ! La tournure que prenaient ces vacances s’annonçaient passionnante !

Je me suis levé, le laissant sous la couette. Je suis allez acheter des croissants à la boulangerie du village. En revenant, j’ai préparé du cacao chaud et je suis allé porter leur petit déjeuner sur un plateau à tout le monde ! Chez Xavier et Camille, après avoir frappé, j’ai du patienter deux minutes avant de pouvoir entrer. Camille était en train de remettre le dessus de son bikini lorsque je suis entré ! A côté du lit, une boîte de préservatif ouverte…
- La nuit a été bonne, je vois !
La dessus, Camille a piqué un fard et Xavier m’a adressé un grand sourire…

Chez Laure et Cédric, l’accueil fut encore plus chaud. Laure alla même, pour provoquer son copain à m’inviter dans le lit pour déjeuner avec eu et « plus si affinité ». J’ai décliné l’offre…

J’ai réveillé Sophie ensuite qui m’a chaleureusement remercié et m’a lâché « Dommage que tu n’aimes pas les filles… Tu serais un mari parfait ! »

Enfin, en frappant chez le dernier couple, Vincent vint m’ouvrir. Il prit son plateau et alla dans le salon et me laissa donner l’autre à Steph qui ne m’adressa même pas un merci. Si elle savait que son mec m’avait juté dessus, celle là…

La matinée se passa sans fait marquant mais l’orage grondait. Juste après le dîner, alors que l’on était tous couchés autour de la piscine, Sophie m’a demandé de lui mettre de la crème solaire sur le dos. J’ai accepté et lui en mis une bonne couche, en insistant surtout sur les épaules. Juste à côté, Vincent avait sa tête tournée vers moi mais, au travers de ses lunettes, je n’arrivait pas à distinguer si ses yeux étaient ouverts ou pas.

Je l’ai regardé dans les yeux et puis, j’ai vu son maillot gonfler… Il s’est retourné pour cacher son érection… Décidément, la situation commençait à m’exciter très fort…

Ayant terminé chez Sophie, j’ai demandé :
- Qui d’autres veut un massage spécial à l’huile solaire ?
- Moi, moi, moi ! Cria Laure avant d’éclater de rire en regardant son copain qui souriait à l’idée que sa copine se fasse peloter…
Je me suis donc appliqué.
- Personne d’autre ? Qui veut bien m’en mettre alors ? Pas tous à la fois !
Personne n’a répondu. Je me suis lancé :
- Vincent, tu m’en mets, s’il te plait ?
- Heu… Ok, couche toi !
Je me suis couché sur le ventre et il est venu s’asseoir sur le haut de mes jambes. Il a commencé d’abord timidement à m’étaler la crème mais au fur et à mesure, ses mains commençaient à me caresser. Je sentais que sa queue se tendait aussi. J’ai arrêté son supplice en le remerciant. Il est retourné se coucher.

Fin de journée, Vincent et Stéphanie sont parti discuter pendant une bonne heure pendant que l’on s’occupait du barbecue. A leur retour, il nous ont annoncé qu’il se séparaient mais qu’ils restaient bon copain. Il faudrait donc s’arranger pour les chambres pour le reste du séjour. Sophie a proposé à Steph de prendre ma place dans notre chambre et moi j’irais dormir avec Vincent, dans le lit double… C’était trop beau ! Steph enchaîna :
- Bin ouais, entre mecs, y a pas de problème ! Vous êtes moins pudiques !
Elle ne pensait pas si bien dire… Je regardai Vincent, il ne disait rien.
Sophie, elle, me fit un grand sourire… Elle devait se douter que la perspective de dormir avec un beau mâle à côté de moi devait bien me plaire…

Le soir, nous sommes allé boire un verre dans le village, à une petite fête locale. Nous sommes rentré vers 1 h. Laure, Cédric, Sophie et Stéphanie sont resté pour danser un peu encore.

Dans la chambre, j’ ai commencé à me déshabiller. Vincent ne disait rien et restait assis au bout du lit.
- Ça te gêne qu’on dorme ensemble ?
- Non pas du tout !
Je suis même allé plus loin :
- D’habitude, je dors à poil, ça te gêne ?
- Heu… non… Là, il semblait hésitant mais il finit par lâcher :
- Moi aussi d’habitude. Mais toi, ça te gêne pas de dormir dans le même lit avec un mec à poil ?
- Pas du tout… Pour tout dire, ce sera pas la première fois !
Là, il n’a plus rien dit, me regardant, interrogatif.

J’ai retiré mon boxer, ne cachant pas du tout ma queue de 18cm mi bandée. Je l’ai regardé, il fixait ma queue puis je suis entré sous la couette.
Vincent s’est levé, et a retiré ses vêtements : son tee shirt puis son bermuda puis son caleçon américain. Il me tournait le dos puis s’est retourné. Il bandait. Un peu gêné, il m’a regardé. Pour le mettre en confiance (j’avais mon idée sur la suite de la soirée) :
- Waw, dame Nature n’a pas eu la main légère avec toi ! (En effet, il avait une belle queue, toute fine qui devait au moins faire 15cm au repos ! De plus, il avait plein de poil, ce qui contrastait avec le reste de son corps qui était presque imberbe.)
- Merci, mais d’après ce que j’ai pu voir, la tienne n’est pas mal non plus… Tu t’épiles ?
- Oui, tu devrais essayer ! (Je retirai la couette pour lui montrer ma queue) Regarde, c’est tout doux. Et puis, quand on me caresse ça me fait plus d’effet !
J’ai cru qu’il allait s’étrangler !
Ne voulant pas le faire patienter plus longtemps, je me suis redressé, je l’ai pris par le bras et l’ai poussé sur le lit. Nos corps se sont collé et je l’ai embrassé. Il s’est laissé faire. Il fermait les yeux pour mieux profiter du moment. Au début, sa langue ne bougeait pas beaucoup puis il s’est activé pour me rendre mes baisers et sa langue a commencé à jouer avec la mienne. Lorsque nos lèvres se sont séparées, il a ouvert les yeux et m’a lancé un grand sourire.

Mes mains n’étaient pas restées inactives et je lui caressais le torse. Il commençait à ronronner. Ma main est descendu jusqu’à sa queue et j’ai commencé à jouer avec son prépuce, décalottant le gland puis le recalottant.
Il poussa un soupir
- Ho oui !
Nos lèvres se sont rejointes pendant que je continuais à jouer avec la bite puis avec ses couilles. Je sentais son souffle s’accélérer, il allait jouir.
J’ai arrêté de le caresser. Il a réouvert les yeux, un peu étonné
- Patience ! On a tout le temps !
- Tu as raison…
J’ai commencé à sucer ses tétons en caressant son torse. Puis, je suis descendu. Ma langue s’est activé sur la base de sa queue tendue, je lapais son gland. Il soulevait ses fesses. Puis j’ai englouti sa queue. D’abord juste un peu puis complètement. Là, il gémissait vraiment ! Je lui ai demandé de se taire pour ne pas ameuter les autres, ce qu’il a compris
- Mais c’est tellement bon ! C’est pas ta première pipe, je suppose ?
Je n’ai rien répondu et j’ai ré engloutis sa queue. Je jouais avec ses couille en même temps. Au bout d’un petit moment, il a voulu se retourner et l’on s’est mis en 69. Il a commencé a lécher mon gland puis est descendu puis a commencer à engloutir ma queue. Il apprenait vite, le Vincent !

Moi je continuais à jouer avec ses couilles puis avec sa petite rosette vierge. Je lui ai caressé son petit trou puis quand j’ai senti qu’il était prêt, je lui ai enfoncé un doigt. A ce moment, il a joui 5 giclées dans ma gorge. J’ai tout avalé et j’ai nettoyé sa queue pour ne pas perdre ce précieux nectar ! Je l’ai ensuite embrassé pour partager un peu de sa semence.
- Merci Sébastien ! Je n’ai jamais joui comme ça ! Stéphanie ne m’a jamais sucé comme ça !
- De rien… Mais sache que je peux te faire découvrir d’autres plaisirs encore plus grands !
Il m’a sourit.
- J’ai hâte de voir ça !
Puis il m’a embrassé passionnément. Ses mains me caressaient le corps et les miennes s’activaient pour parcourir le sien. Il a pris ma bite en main puis m’a dit :
- Ça te dirait de m’épiler, demain ? Ta peau est si douce… une vrai peau de bébé !
- OK ! Demain, pendant la siesta, tu sera nu comme un ver ! Plus un poil sur le corps !
Encore une fois, il m’a souri et ma pris la main. Il la serrait fort
- Sébastien ?
- Oui ?
- Veux tu me prendre ?
- Pardon ?
- Veux tu me prendre ? Me prendre dans le cul ? M’apprendre à jouir comme tu m’as dit! Montre moi ! Fais moi jouir encore plus !
- T’es certain ?
- Oui, c’est avec toi que je veux découvrir cette sensation ! Il me regardait avec ses grands yeux bleus. Là, j’étais au paradis !
- Ok, tourne toi, mets toi à 4 pattes.
J’ai pris dans mon sac des préservatifs (sortez couverts !) et de la vaseline. J’ai ensuite commencé à lécher son petit trou. D’abord par petit coup de langue. Puis ma langue s’est introduite dans son petit trou serré. J’ai pris une petite noisette de vaseline sur mon doigt et j’ai commencé à le travailler. Au bout de quelques minutes j’avais deux puis trois doigts dans son anus. Il faisait des grimaces mais ne disait rien.

Quand j’ai considéré qu’il était prêt, j’ai enfilé un condom et j’ai présenté ma queue devant ses fesses. Il était contracté. Je lui ai caressé le dos et il s’est détendu. J’en ai profité pour enfoncer mon gland. Il a poussé un petit cri. Puis j’ai commencé un petit mouvement de va et vient et m’enfonçant chaque fois plus. Au bout de 5 minutes, ma queue entière était dans ses entrailles. J’ai arrêté le mouvement pour qu’il s’habitue. Puis j’ai recommencé le va et vient. Il commençait à gémir de plus en plus.

Sentant sa jouissance approché, je suis sortit de son trou et l’ai retourné. Il s’est couché sur le dos, a plié ses genoux à ses épaules et je me suis de nouveau enfoncé en lui. Il me regardait, les yeux ouverts, en gémissant.
Après un moment, je n’ai plus su me retenir et j’ai lâché ma purée dans son trou. Au même moment, il a joui aussi 4 grosses giclées de foutres sur son ventre et la dernière sur ma jambe.
- Comme hier !
Il m’a souri.
- T’as remarqué ?
- C’était assez visible… et je l’ai surtout senti !
- Désolé mais voir ton corps comme ça contre moi a fait ressortir mes pulsions. J’ai pas su m’empêcher de me branler…
- C’est pas grave mais maintenant, quand tu as des envies, appelle moi !
- Pas de problème… Séba ?
- Oui ?
- Merci !
- Pourquoi ?
- Pour m’avoir fait jouir comme ça… Et pour m’avoir fait découvrir ma vraie voie !
- De rien, ce fut avec… plaisir !
- Séba ?
- Oui, quoi encore ?
- Je t’aime !
- Ne dis pas de bêtise !
Et on s’est endormi, blottit l’un contre l’autre.

Le lendemain, Stéph est venue nous réveiller. Elle a été étonnée de nous voir tous les deux à poil l’un contre l’autre, sous la couette.
- Bin les mecs, je savais que vous n’étiez pas pudiques mais là, c’est quasiment de la provocation ! On dirait un couple d’homo ! Elle ne croyait pas si bien dire… Sophie a passé sa tête à la porte et m’a fait un clin d’œil.

La fin des vacances fut paradisiaque : nous avons refait plusieurs fois l’amour ensemble. Partout : sous la douche, dans la piscine, sur la table du salon et, bien sur, le soir, dans le lit. Les autres (sauf Sophie) n’ont rien remarqué. Vincent a découvert le plaisir que l’on peut prendre à enculer quelqu’un et a appris à me sucer comme un dieu. Il a vécu son phantasme à fond. Après les vacances on s’est séparé.

Maintenant, Vincent vit de nouveau avec Steph qui le trouve beaucoup plus épanouit. Ce qu’elle ne sait pas, c’est que Vincent est bi et que chaque semaine, notre partie de tennis hebdomadaire se termine toujours par une bonne partie de jambe en l’air. C’est devenu un sacré baiseur !

Vivement les prochaines vacances !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Publié dans : Récit XXX - Par Esteban
Samedi 10 janvier 6 10 /01 /Jan 10:00
Voilà une histoire que j'avais écrite il y a 3 ans, après des vacances en camping... Rien d'autobiographique la dedans... Juste un fantasme...

Histoire XXX - Les joies du camping


Cette histoire s’est passée il y a 5 ans maintenant. J’avais 25 ans. J’étais parti 15 jours en vacances dans le Sud de la France avec ma copine. J’étais hétéro convaincu. Comme nous n’étions pas riches, nous logions en camping, sous tente. C’est une manière très bon marché de voyager et puis, il y a cette ambiance unique des camping…

C’est fou, mais partout où l’on campait, il y avait pleins de hollandais ! Ces gens là sont très gentils, rien à dire mais c’est quand même bizarre que quasi 90% de la population des campings en France est hollandaise…

Un soir, vers 23h, alors que ma copine avait décidé d’aller se coucher tôt, je suis allé faire un tour. Il faisait lourd et j’étais en sueur. J’ai décidé de prendre une douche dans le bloc sanitaire tout proche avant d’aller dormir. Je suis entré dans la cabine de douche, me suis déshabillé puis, j’ai actionné le jet d’eau.

Après cette journée chaude, l’eau tiède qui coulait sur ma peau me rafraîchissait. Je me sentais bien. Si bien que je me suis mis à bander. Ma main, pleine de gel douche, est venue se placer sur mon sexe en érection. Je bandais dur. Et oui, ça faisait 4 jours maintenant que ma copine ne voulait plus que je la touche ( à cause du petit « problème » féminin qui revient tous les 28 jours…) et j’étais un peu en manque. La sensation était douce et je sentais le plaisir monter petit à petit.

Ma main s’activait de plus en plus vite lorsqu’une voix m’a demandé
- Hulp nodig ?
Je me suis arrêté et j’ai regardé en l’air. Une tête passait au dessus du bord de la paroi de la cabine et me demandait (en hollandais) si j’avais besoin d’aide…

D’abord étonné, je me suis arrêté et je n’osais plus bouger. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai répondu « Pourquoi pas ? ».

Le jeune homme est descendu et a frappé à ma porte, j’ai ouvert et il est rentré avec ses vêtements et son essuie. Il m’a adressé un grand sourire et a commencé à me parler dans sa langue maternelle. Je ne comprenais rien mais il s’est mis à genoux et a commencé à me pomper. On n’avait pas prononcé un seul mot !

Sur le moment, j’étais assez surpris mais ça s’est vite transformé en plaisir ! Je n’avais pas l’habitude car ma copine refusait catégoriquement de me tailler une pipe. Par contre, ce jeune garçon n’avait aucun complexe et me procurait un plaisir rare. C’est clair : ce n’était pas sa première expérience.

 En 2 minutes, il m’amena au point de non retour…
- Je vais jouir ! Retire toi !
Mais il a accéléré son mouvement et a gardé ma bite en bouche. Il m’a regardé dans les yeux et m’a fait un clin d’œil. A ce moment précis, j’ai lâché 6 ou 7 jets de sperme bien crémeux et il a quasi tout avalé ! Il en voulait le bougre !

Moi, j’avais les jambes qui flageolaient. Lui, est remonté et m’a embrassé. Pour la première fois de ma vie, j’ai embrassé un garçon et j’ai goûté mon sperme qu’il avait gardé dans sa bouche. La sensation était bizarre mais pas désagréable. Ses mains ont caressé mon corps et je me suis pris au jeu : les miennes ont fait de même.

Je me rend compte que je ne vous ai pas décrit l’éphèbe qui était en face de moi : 1m85, cheveux châtains, yeux verts, teint bronzé, musclé mais pas trop et bien proportionné (sa queue devait bien faire 22cm). J’apprendrai plus tard qu’il venait d’avoir 18 ans. Sa main s’est posée sur ma tête et un forte pression m’a fait m’agenouiller devant lui, si bien que je suis arrivé en face de sa superbe bite. La situation était excitante au possible et je rebandais déjà comme un diable. J’ai englouti sa queue et j’ai commencé à le pomper. Une ou deux fois, il m’a repoussé la tête car je mordillai son gland et ça devait sans doute lui faire mal. Moi, je m’appliquais pour lui rendre ce plaisir qu’il m’avait procuré quelques secondes auparavant.

Il commençait à gémir lorsqu’il m’a repoussé et m’a relevé. Il m’a fait signe de me retourner et s’est penché pour lécher mon petit trou. Au début, j’essayais de résister mais la sensation était trop bonne. Je me suis offert à lui.

Il a enduit ses doigts de gel douche et a commencé à m’en introduire un, puis deux puis même un troisième de plus en plus profondément. Je n’avais pas mal, au contraire, il me procurait un plaisir fou.

Puis il s’est relevé et a pointé son gland (recouvert d’une capote dont j’ignore la provenance et quand il l’avait mise) sur mon anus et a commencé à donner des petits coups de reins. La queue s’est enfoncée en moi facilement et il était bientôt complètement en moi !

Il s’est arrêté pour que je m’habitue. Il m’embrassait le cou et me léchait l’oreille, c’était divin. Puis il a commencé son va et vient. D’abord doucement puis de plus en plus vite. Une sensation de bien être montait en moi, je commençais à gémir. Il m’a mis sa main sur la bouche pour ne pas ameuter tout le camping et a continué à me pistonner.

Je ne sais pas combien de temps ça a duré mais tout d’un coup, j’ai senti un orgasme incroyable monter de mon cul à ma queue et j’ai éjaculé une grosse quantité de sperme. A ce moment, il s’est laissé aller aussi et a joui dans mon petit trou dilaté. Je ne pensais pas qu’une telle sensation pouvait exister, j’étais au anges. Il s’est retiré de moi, m’a retourné et m’a embrassé.

On a parlé un peu (en anglais) et puis on s’est lavé mutuellement. On s’est fixé rendez vous le lendemain même heure, même endroit.

Pendant toute la journée, j’ai pensé à ce moment et chaque fois, je rebandais dur !

Le lendemain fut l’occasion pour moi de l’enculer et de découvrir cette autre nouvelle sensation. Normalement, ma copine et moi devions changer de camping le lendemain mais pour finir, nous y sommes resté les 10 jours…

Au début, on a continué de se voir tous les soirs puis le midi et le soir. La fin de séjour fut difficile car je devais aussi contenter ma copine… mais ces moments avec lui m’excitaient beaucoup plus !

A la fin du séjour, j’ai gardé l’adresse de mon ami batave et, depuis, il vient passer une semaine au réveillon chaque année chez moi. Je suis devenu ces vacances là, bi. J’ai changé de copines plusieurs fois depuis mais mon petit hollandais est le seul homme qui m’ait jamais touché… Mais qui sait ? Si ça tente quelqu’un, envoyez moi une photo! !
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Publié dans : Récit XXX - Par Esteban
Vendredi 2 janvier 5 02 /01 /Jan 17:30
Voilà mon premier récit, écrit il y a plus de 5 ans maintenant...

Mon entraîneur


Je m’appelle Sébastien, j’avais 16 ans lorsque cette aventure m’est arrivée et cela reste un des meilleurs souvenirs de ma vie!


Je jouais au volleyball dans une équipe composée de gens tous plus âgés que moi. Comme j’étais très doué et que j’étais le plus jeune, j’étais en quelque sorte la mascotte de l’équipe. L’ambiance était excellente. C’étaient tous de bons sportifs, bien musclés. Dans les douches, j’aimais bien regarder les autres se déshabiller et se promener la queue à l’air. J’ai dû à plus d’une reprise dissimuler un début d’érection en voyant toutes ces belles bites.


Au début de la saison, après un match, notre entraîneur est venu nous féliciter après une victoire pendant que l’on se douchait. J’ai eu l’impression qu’il me regardait et ce sentiment m’a excité et j’ai commencé à bander. En voyant ça, il m’a adressé un petit sourire et a continué à nous congratuler.


Il faut dire, Vincent notre entraîneur, avait à peine 24 ans et c’était un grand sportif: il faisait partie de l’équipe première du club et était considéré par beaucoup comme le meilleur joueur du club, voire de la région... Il était brun-châtain et des yeux noisettes à croquer. Dans toutes les situations, il trouvait le mot pour rire ou pour mettre en confiance. Toujours sympa, souriant, parfois dur mais toujours juste. Bref, il représentait tout ce que je voulais devenir.


Je dois dire qu’à partir de cet épisode dans le vestiaire, il a alimenté tous mes phantasmes. Je me masturbais sauvagement, parfois 3 à 4 fois de suite (ah, c’était le bon temps!), en pensant à lui.


En milieu de saison, lors d’un entraînement où beaucoup de joueurs étaient absents, nous n’étions que 5, alors Vincent a participé avec nous pour faire nombre. Il était, comme toujours, très fort et son style de jeu était parfait. C’était très agréable mais aussi très intensif! En fin de séance, j’avais une crampe au mollet. L’entraînement était terminé et les autres étaient partis se doucher. Vincent est venu près de moi et m’a montré comment m’étirer pour diminuer la douleur. Il m’a aidé en me tenant le pied et puis, m’a massé le mollet. À son contact, j’ai directement bandé. Ce n’était pas très discret... À travers mon short, il l’a directement remarqué et m’a adressé un grand sourire que je lui ai rendu.

— Ça m’a l’air bien serré là-dedans!


Je suis devenu tout rouge pivoine... La honte! Le silence qui a suivi a été brisé par les autres qui avaient fini de se changer et qui partaient.


Vincent m’a relâché, a pris ses affaires et s’est dirigé vers les vestiaires. Je bandais toujours à fond. J’ai repris un peu mes esprits puis me suis dirigé vers le vestiaire. Au moment où j’entrais, Vincent était nu et entrait dans la douche commune. C’était la première fois que je le voyais tout nu. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il était bien membré: un belle queue de 20cm, circoncise et un petit triangle de poils très court. Mon érection m’a repris de plus belle.


Je me suis déshabillé tant bien que mal, mon 18cm bien tendu et décalotté. Je suis rentré sous la douche bien chaude, toujours bandé. Nous n’étions plus que nous deux, tous les autres étaient partis. Vincent me tournait le dos en se savonnant. Ses fesses étaient fermes, brillantes.


En le voyant comme ça, j’ai été pris d’une envie de le serrer dans mes bras. Je me suis approché de lui et j’ai posé ma main sur son dos. Il s’est retourné et c’est alors que j’ai remarqué qu’il bandait aussi.

— Tu veux me savonner le dos?

Un peu pris au dépourvu, j’ai articulé:

— Pourquoi pas? en lâchant un grand sourire pepsodent...

— OK mais laisse moi d’abord commencer...


Et il s’est agenouillé devant moi, m’a caressé le torse puis le ventre et a commencé à donner des baisers sur ma queue. De ses mains, il me caressait le torse, mes pectos et descendaient jusqu’à mes fesses. C’était trop bon: mon phantasme se réalisait! Tout à coup, il a pris ma bite en bouche et a commencé à la sucer. Son va-et-vient était divin. J’ai commencé à gémir.

— Ho oui, vas-y continue!

Mes mains ont saisi sa tête et ont accompagné son mouvement. Il a ressorti ma bite et m’a regardé:

— Tu as l’air d’aimer ça... On continue?

— Et comment!


On s’est couché et on s’est positionné en 69. Au début, j’étais un peu maladroit (je mordillais sa bite... c’était la première fois!) mais j’ai vite compris ce qui lui procurait le plus de plaisir. J’ai commencé à le sucer en faisant de plus en plus rentrer sa queue dans ma bouche.




Lui, continuait de faire coulisser mon pieux fièrement dressé. Il avalait complètement ma queue, c’était divin. À chaque fois que j’étais sur le point de venir, il s’arrêtait, me laissait me calmer puis recommençait.


Moi je m’activais à essayer de reproduire ce qu’il me faisait et qui me procurait tant de plaisir! Quand il me léchait les couilles, je l’imitais. Quand il léchait la base de ma bite, je faisais de même. À un moment, il m’a enfoncé un doigt dans l’anus et a commencé à le bouger. Là, je n’ai pas pu me retenir...

— Je viens, ahhh!


Mais lui a embouché ma queue et a continué de me sucer pendant que je lâchais 4 longues saccades de sperme. Il en avala une partie puis remonta jusqu’à ma bouche et m’embrassa.


C’était la première fois que je goûtais mon sperme et même, que j’embrassais un garçon. Nos langues se mêlaient, c’était divin, j’étais aux anges. Pendant ce temps, sa main gauche me caressait le torse et sa droite s’insinuait entre mes fesses pour venir me titiller ma petite feuille de rose. Je me doutais de ce qu’il voulait. J’avais un peu peur mais j’étais prêt à tout pour lui rendre le plaisir qu’il me faisait!


Mes mains ont saisi ses fesses et nous nous sommes caressés en nous embrassant pendant un long moment. Lorsque nos bouches se sont quittées, je me sentais prêt. Il me regardait avec un grand sourire:

— Tu veux que je te donnes encore plus de plaisir?

— Oui, mais fais attention, c’est la première fois pour moi

— Pour moi aussi, tu sais, mais ça fait un petit moment que ça me tourne dans la tête...

— Vrai? Moi aussi! Depuis que tu es venu dans le vestiaire, l’autre fois, je n’arrête pas de penser à ce moment!

— Tu es prêt?

— Ça me fait un peu peur mais vas-y, je suis prêt!


Et il m’a embrassé de nouveau.

— Suce-moi un peu pour que je bande à fond avant de te prendre!

Je me suis penché et l’ai repris en bouche

— Tu apprends vite! C’est comme sur le terrain, tu écoutes bien!

Pendant que je le suçais, il a mouillé son doigt et me l’a enfoncé dans mon petit trou. Puis il en a rajouté un second puis un troisième. Moi, je me délectais de sa queue. C’était mieux qu’une glace au chocolat et j’aurais voulu que ça dure tout le temps!

— Couche-toi sur le dos!

Je me suis exécuté, j’ai ramené mes jambes sur mes épaules et il est venu me lécher ma petite rosette (qui était déjà bien dilatée).

— Vas-y! Continue

C’était trop bon! sa langue excitait mon petit trou.

— Tu aimes, hein?

— Oui, vas-y! Prends-moi, défonce-moi!

Il me regarda, étonné de mon langage mais ne se fit pas prier. Il s’est mis à genoux, a enfilé un préservatif (je ne sais pas d’où il sortait...) et a enfoncé son gland dans mon petit cul qui n’attendait que ça.

— Ouille, ça pique un peu!

— Attends, ça va passer...

Effectivement, la sensation diminuait et devenait même agréable.

— Vas-y!

— OK, c’est parti mon ami!


Il s’est enfoncé complètement, a attendu que je m’habitue un peu puis a commencé un va-et-vient. À chaque changement de rythme, j’éprouvais un plaisir incroyable. À un moment, il a ressorti sa queue.


Je ressentais une sensation de vide. Aussitôt, il m’a enfoncé son pieu complètement puis a accéléré le rythme. Je n’ai pas su me retenir, je criais, haletais, c’était bon!

— Je viens!


Et j’ai éjaculé 5 ou 6 jets sur mon torse et jusque sur mon visage! À ce moment, Vincent est sorti, a retiré le préservatif et a continué de se branler. J’ai compris qu’il allait éjaculer. Je me suis redressé et l’ai pris en bouche. Il m’a lâché plusieurs jets, il y en avait tellement que je n’avais pas le temps de tout avaler. Un fois fini, je l’ai léché pour ne pas en perdre une goutte.


— Tu as l’air d’aimer le sperme, me dit-il.

— Le tien en tout cas!

— Moi, j’aime bien le tien.

Et il m’a léché la joue où j’avais encore un peu de dèche...

— Merci beaucoup Sébastien!

— Merci à toi! C’était mieux que tout ce que j’avais imaginé! Est-ce que ça fait de moi un pédé?

— Non, tu sais, moi, j’ai une copine que j’aime... Mais rien n’empêche de prendre un peu de plaisir de temps en temps...

— Ne t’en fais pas, ça restera entre nous deux!

— J’y compte bien!

— Mais, à l’occasion, on pourrait recommencer, hein?

— Pourquoi pas? tu fais quoi le semaine prochaine, lundi?

— Rien, je suis en vacances jusqu'à vendredi!

— Ma copine part pour toute la semaine à l’étranger. Si tu veux, tu peux passer chez moi pour dîner et on ira après à l’entraînement!

— Vers quelle heure?

— Disons 16h, l’entraînement est à 20h, ça nous laisse un peu de temps...

— No problemo!

Et nous nous sommes lavés mutuellement. Puis nous nous sommes quittés en nous embrassant.

À la fin du match le samedi, il m’a donné discrètement un tappe sur les fesses:

— À lundi? ça tient toujours?

— Évidemment! J’attends ça avec impatience!

— Moi aussi, j’ai une petite surprise pour toi!


Puis il est parti!


Je ne vous raconte pas l’envie que j’avais d’être le lundi soir... Mais ça, ce sera peut-être pour un prochain épisode, si mon histoire vous a plu...


Aujourd’hui, je suis entraîneur d’une équipe de jeunes de 18 ans et je joue toujours avec Vincent. Nous sommes tous les deux mariés et avons des enfants. Ensemble et avec notre équipe, nous sommes très forts (sportivement parlant). Parfois, nous prenons un peu de plaisir à deux.


Tout à l’heure, en passant dans les douches après l’entraînement, j’ai vu un jeune espoir reluquer les autres et se mettre à bander... Qui sait s’il n’aura pas envie d’une petite gâterie, lui aussi...

Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Publié dans : Récit XXX - Par Esteban
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés